DRESSLIGHT a été présentée sous le profil contract à l’Afterwork organisé par le Groupe Faro, comme étant sa marque intégralement fabriquée avec le label Made In Spain. Cet Afterwork coïncide avec le Chase the Dark, événement international qu’organise l’IALD (Association Internationale de Designers d’Illumination), auquel nous participions avec d’autres membres.

Cet événement, qui a compté sur la présence d’architectes, de décorateurs et d’ensembliers, a été organisé dans un cadre incomparable : la terrasse de l’Hôtel Alma, illuminée pour l’occasion avec divers luminaires conçus par le Groupe Faro. L’apport de DRESSLight pour l’occasion a été un ensemble de designs, le Hanoi, le Tango et l’impressionnante Crisalida qui domptait la terrasse.

Le speech élaboré par Xavier Martin, Directeur Général, a présenté le groupe à l’assistance, depuis ses origines, il y a plus de 60 ans ; en mettant l’accent sur le besoin de, tout au long de ces années, présenter la stratégie entrepreneuriale afin de s’adapter aux changements du marché. Ceci est d’ailleurs confirmé par le fait que, de 2005 à nos jours, le design occupe de nouveau une place importante.

Suite à la présentation, Ana Lopez, Manager en Développement Commercial, a expliqué à l’auditoire en quoi consistait Chase the Dark et le défi de cette année : fabriquer un luminaire avec du papier et une LED, faire une photo et la publier sur Twitter avec l’hashtag #IALDchasedark. Au sujet de la coïncidence de date entre l’Afterwork et l’événement de la IALD, Ana a expliqué : « La rencontre d’hier fut une journée très spéciale. Lorsque les gens arrivaient nous pouvions voir comment changeait l’expression sur leurs visages, étant surpris par ce qu’ils voyaient ».

Après avoir réalisé la photo de groupe, une session de networking a été mise en place, égayée par un groupe de jazz en live. Ana Lopez, a également voulu partagé ses impressions à ce sujet : « Je garde en souvenir l’échantillon le plus graphique de l’événement, lorsque j’ai aperçu la bonne ambiance qui se profilait dans l’assistance et que les gens se mettaient en contact alors qu’ils ne se connaissaient même pas au départ, mais aussi, lorsque j’écoutais quelques-uns de leurs commentaires ».